
Le président de la République, Denis SASSOU-N’GUESSO a procédé au planting d’arbres ce mercredi 6 novembre 2019 au village Obouya dans le département de la Cuvette à l’occasion de la 33ème édition de la Journée nationale de l’arbre instituée depuis 1986.
Outre le planting des arbres, il y a une foire aux plants à Oyo toujours dans le département de la Cuvette en vue d’établir un contact entre la population et les producteurs de plants mais aussi de valoriser le métier de pépiniériste.

La Journée nationale de l’arbre a été instituée par le président de la République, Denis Sassou Nguesso, en 1984. Célébrée chaque 6 mars au début, elle a été déplacée au 6 novembre de chaque année pour respecter le calendrier pluviométrique du Congo.

Notons que malgré l’importance du couvert forestier national qui représente 67% du territoire et sa richesse en biodiversité, le reboisement et le boisement constituent une niche d’activités variées et d’emplois décents et peut servir de moteur à l’émergence de l’économie verte en République du Congo.
Ainsi, la Journée nationale de l’arbre représente une occasion de sensibilisation et de conscientisation des populations au rôle de l’arbre et de la forêt dans la vie.
Le chef de l’Etat congolais a reçu, le 31 octobre 2019, en audience, à Oyo (Cuvette), où il séjourne depuis le 30 octobre dernier, Louis Paul Motaze, ministre camerounais des finances, porteur d’un message écrit du président Paul Biya à son homologue, Denis Sassou N’Guesso.
La teneur de ce message n’a pas été révélée à la presse mais selon Louis Paul Motaze, le chef de l’Etat congolais profondément touché par le drame survenu dans la région d’Extrême-nord du Cameroun,où les pluies diluviennes ont fait environ 40 morts, a manifesté sa vive émotion.
«Chaque fois qu’un de nos pays connait un sinistre, généralement, il y a une solidarité agissante entre les chefs d’Etat», a déclaré l’homme d’Etat camerounais. «Le président Sassou n’est pas resté insensible à ce qui arrive au Cameroun. Il a transmis au président Biya ses condoléances ainsi qu’aux familles éprouvées», a-t-il précisé.
Le ministre camerounais des finances a rappelé que le Congo et le Cameroun sont deux pays membres de la Communauté Economique et monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) et les deux chefs d’Etat, Denis Sassou N’Guesso et Paul Biya, ont toujours entretenu de bonnes relations. Les rencontres et échanges épistolaires entre les deux chefs d’Etat en sont la preuve, a-t-il déclaré à la pesse. Pour Louis Paul Motaze « … le plus important est que ces deux présidents qui s’estiment, aiment à intervalle régulier, parler des problèmes de la sous-région. C’est ce que le président Sassou a fait en me passant un certain nombre de messages destinés à son frère et ami. Et je me fais le devoir de transmettre ces différents messages ».
La république du Congo et le Japon ont procédé, le 31 octobre à Brazzaville, à la signature de l’échange de notes sur le projet, dont le financement apporté par le gouvernement nippon s’élève à deux millions de yens japonais, soit environ 1,1 milliard francs CFA. Le Congo était représenté par le secrétaire général du ministère des Affaires étrangères, Cyprien Sylvestre Mamina , et le Japon par son ambassadeur, Hirochi Karube.
Selon un communiqué, le projet « fait partie des mesures de promotion économique » prises lors de la septième conférence internationale de Tokyo sur le développement de l’Afrique (Ticad 7), tenue du 28 au 30 août dernier, à Yokohama, au Japon, à laquelle la République du Congo avait été représentée par le chef de sa diplomatie, Jean-Claude Gakosso. « Ce projet s’inscrit également dans l’optique d’accompagner le Congo à assurer l’autosuffisance alimentaire pour laquelle le gouvernement congolais a déjà pris des mesures avec le Programme national de développement 2018-2022 », précise la source.
La signature de l’échange de ces notes vient concrétiser le mémorandum d’accord paraphé en septembre dernier, à Brazzaville, entre le représentant résident de l’Agence japonaise de coopération internationale (Jica), Kazunao Shibata, et le ministre d’Etat, ministre de l’Agriculture, de l’élevage et de la pêche de la République du Congo, Henri Djombo.
Nestor N'Gampoula (Les Dépêches de Brazzaville)

La rencontre aura lieu en mars 2020 dans la capitale tunisienne, comme convenu lors de la 36e Conférence ministérielle de l'espace communautaire, tenue du 30 au 31 octobre, dans la principauté de Monaco. La délégation congolaise était conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso.
Organisées sur le thème « Réconcilier l’humanité et la planète : perspectives dans l’espace francophone à la veille des 50 ans de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) », les assises de Monaco ont été l’occasion de réfléchir sur le sujet, notamment en matière de développement durable, avec des composantes telles que l’économie, le social et l’environnement. S’y ajoutent la promotion de la diversité culturelle et linguistique, des questions liées aux opérations de maintien de la paix ainsi que l’examen de la situation internationale.
A l’instar d’autres rencontres de l’OIF, celle de Monaco a été aussi l’occasion de promouvoir la langue française et la coopération entre les membres de l’organisation des pays ayant le français en partage, rassemblant déjà quatre-vingt-huit Etats et plus de trois cents millions de locuteurs.
Il s’agissait donc d’une opportunité de plus pour valoriser et contribuer au rayonnement de la langue française à des fins d’intégration et de développement à travers la réalisation des Objectifs de développement durable. De fait, les ministres présents ont largement échangé sur la thématique de la conférence ainsi que sur les enjeux de la réflexion en cours sur l’avenir et les orientations de l’OIF, à la veille de la célébration de ses 50 ans.
Dans le but de permettre à l’OIF de mener à bien les ambitions qu’elle s’est fixées, le Prince Albert II, de la principauté de Monaco, l’un des Etats fondateurs de l’organisation, a pris l’engagement de la soutenir et d’accompagner les réformes engagées en son sein. La secrétaire générale de l’OIF, Louise Mushikiwabo, s’est, quant à elle, réjouie de ce que cet espace est devenu une « force unifiant ».
Le ministre congolais des Affaires étrangères a également pris la parole en insistant sur « la grave menace que constitue le réchauffement climatique » et souhaité que la Francophonie s’implique davantage pour combattre le fléau.
« En endossant la problématique vitale de la protection de l’environnement, en s’engageant à réconcilier l’humanité avec la planète, notre conférence se met au diapason des vraies préoccupations de nos peuples », a-t-il estimé. « Cette posture devrait renforcer la visibilité de la Francophonie, notamment dans le domaine de la diplomatie multilatérale et au sein du système des Nations unies », a poursuivi Jean-Claude Gakosso, après avoir évoqué les efforts consentis par la République du Congo qui a « en maintes occasions donné la preuve de son engagement dans ce domaine », notamment « en prenant des initiatives innovantes ». Le chef de la diplomatie congolaise a cité l’ambitieux Programme national de reboisement mis en place depuis une vingtaine d’années et le Fonds Bleu, une initiative portée par le président Denis Sassou N’Guesso et ses pairs d’Afrique centrale, qui constitue de l’avis des experts « un appoint majeur aux politiques globales sur la préservation des écosystèmes ».
En marge de la 36e Conférence ministérielle de l’OIF, le ministre congolais des Affaires étrangères et des Congolais de l'étranger a échangé avec son homologue sénégalais, Amadou Ba, sur la nécessité de raffermir la coopération entre leurs pays respectifs. Les deux personnalités ont également évoqué la situation sécuritaire tant en Afrique centrale que dans la zone ouest-africaine.
Nestor N'Gampoula (Les Dépêches de Brazzaville)
Dans le cadre de la célébration du 96e anniversaire de la proclamation de la République de Turquie, son ambassadeur à Brazzaville, Serhan A. Yigit, a organisé une réception le 29 octobre, au cours de laquelle il a réaffirmé la volonté et la disponibilité de la Turquie à coopérer étroitement avec le continent africain en général et la république du Congo en particulier, précisant que son pays tient à partager son expérience avec les pays de l’Afrique.
Faisant une rétrospection sur l’histoire des relations entre la Turquie et le Congo, Serhan A. Yigit a rappelé qu’au plan bilatéral, l’année 2019 marque le 59e anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre les deux pays, qui ont établi réciproquement leurs ambassades en 2013 et 2014.
« Depuis lors, les échanges dans plusieurs domaines se sont développés rapidement entre les deux Etats qui, depuis le 30 juillet dernier, sont directement liés par Turkish airline de Pointe-Noire à Istanbul, trois fois par semaine. », a indiqué le diplomate turc.

A la faveur du 18e sommet du Mouvement des pays non-alignés, tenu du 26 au 27 octobre à Bakou, en Azerbaïdjan, le ministre des Affaires étrangères, de la coopération et des Congolais de l’étranger, Jean-Claude Gakosso, a souhaité que les Etats concernés apportent des réponses adéquates aux défis contemporains.
« Il nous faut concevoir des approches susceptibles de nous permettre de poursuivre avec plus d’efficacité la réalisation de notre légitime aspiration à construire un monde pacifique et prospère », a déclaré le ministre congolais des Affaires étrangères. Ce qui obéirait, selon lui, au thème de la rencontre de cette année, qui est de raviver l’élan politique du mouvement et d’affirmer son leadership sur la scène internationale. Le chef de la diplomatie congolaise s’exprimait devant les chefs d’Etat et de gouvernement de près d’une soixantaine de pays.
Estimant qu’une action plus vigoureuse était nécessaire « face aux défis encore plus complexes du monde multipolaire », le ministre a insisté pour que cela se fasse dans le fil des principes adoptés à Bandung, en 1955. Il s’est, en outre, félicité de ce que certains membres du mouvement sont « devenus des pays émergents » et constituent « de nouveaux pôles de développement ».
« De nouveaux partenariats se nouent et se développent, qui ouvrent de nouvelles perspectives de coopération internationale », a relevé Jean-Claude Gakosso, soulignant : « Tout semble indiquer qu’un nouvel ordre du monde se forge progressivement sous nos yeux, qu’une recomposition géopolitique nouvelle s’organise. Tout cela ne peut évidemment pas être ignoré ».
Malgré ces avancées, la délégation congolaise a dit ne pas ignorer les développements récents sur la scène internationale qui « cachent mal quelque volonté de puissance et d’hégémonie de la part de certains Etats, ainsi qu’une propension obstinée à l’unilatéralisme ». Ce qui n’a pas empêché le Mouvement des non-alignés de rester « un partenaire stratégique, une force politique incontournable pour appuyer les Nations unies dans la défense du multilatéralisme », afin de créer un environnement propice à la solidarité, à la compréhension et à la tolérance dans le respect des idéaux de sa charte.
« Dans cette entreprise, l’unité dans la diversité et la solidarité qui ont toujours caractérisé les membres de notre mouvement reste une exigence. C’est la condition sine qua non pour notre organisation qui doit prospérer comme un acteur majeur sur la scène internationale », a soutenu le chef de la délégation congolaise. « Il nous faut, en l’occurrence, renforcer notre cohésion pour nous affirmer comme une force d’action et de proposition sur les questions de préoccupation commune, telles que la lutte contre le dérèglement climatique, la lutte contre la pauvreté, la lutte contre le terrorisme et la poursuite de la revendication pour l’émancipation des peuples », a-t-il poursuivi.
Le Mouvement des pays non-alignés, qui compte cent vingt pays membres, rassemble 55% de la population mondiale. Il accueille également dix-sept pays et dix organisations internationales ayant le statut d’observateur. Quant au sommet de cet espace, il se tient tous les trois ans et permet à ses membres de discuter des questions majeures, dont celles portant sur les domaines politique, sécuritaire et celui du développement.
Nestor N'Gampoula (Les Dépêches de Brazzaville)
La principauté accueille la rencontre, les 30 et 31 octobre, sur le thème « Réconcilier l’humanité et la planète : perspectives dans l’espace francophone à la veille des 50 ans de l’OIF ».
C’est la première fois que Monaco abrite une conférence ministérielle de la Francophonie générale ; un pas important pour cette principauté. L'événement va réunir les quatre-vingt-huit États et gouvernements membres de la Francophonie où quatre cent cinquante personnes provenant des cinq continents du monde sont attendues. Parmi les membres de la délégation congolaise conduite par le ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des congolais de l’étranger, Jean Claude GAKOSSO, il y a l’ambassadeur de la république du Congo en France Rodolphe Adada.
La trente-sixième conférence ministérielle de la Francophonie va se tenir dans un lieu unique, le Grimaldi Forum, Centre de conférence emblématique de la principauté de 35 000 m², certifié depuis 2008, à la norme de certification environnementale ISO 14001.
Cette conférence fait partie des trois instances consacrées par la Charte de la Francophonie avec le sommet et le conseil permanent de cette organisation. Elle assure la continuité politique du sommet de la Francophonie.
Les assises de Monaco vont se dérouler à un moment clé pour l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) : le changement de gouvernance à la suite de l’élection de la nouvelle secrétaire générale lors du sommet d’Erevan, un an avant celui de Tunis durant lequel seront célébrés les 50 ans de l’organisation. Il s’agit de la première conférence ministérielle de la nouvelle secrétaire générale, Louise Mushikiwabo, élue au terme du sommet d’Erevan en octobre 2018, et qui a officiellement pris ses fonctions le 3 janvier de cette année.
Marie Alfred NGOMA (Les Dépêches de Brazzaville)

En marge du sommet Russie Afrique, Denis Sassou-N’Guesso a déployé une intense activité diplomatique à Sotchi. Le chef de l’Etat congolais a discuté de la coopération bilatérale avec certains de ses pairs. C’est le cas avec son homologue centrafricain, Faustin-Archanges Touadera. Les deux hommes ont évoqué la situation en RCA où, selon le président Touadera, l’accord de paix signé avec les anciens rebelles s’applique progressivement. Denis Sassou-N’Guesso, a rappelé Faustin Archange Touadera, a été médiateur international dans la crise centrafricaine.
Le corridor 13 devant relier les villes de Ouesso, Bangui et Ndjamena a également figuré au menu des entretiens entre les deux chefs d’Etat. Selon le président de la république centrafricaine, il s’agit d’un projet important pour les trois pays frontaliers (Congo, RCA et Tchad). « Nous travaillons pour que ce projet puisse avoir un financement, pour sa réalisation », a-t-il indiqué.
Le président de la Commission de l’Union africaine a, également, rencontré Denis Sassou-N’Guesso qui assure, par ailleurs, la présidence du Comité de haut niveau de l’UA sur la Libye. Moussa Faki Mahamat a fait le point au président congolais des conclusions de la réunion sur la Libye tenue en septembre dernier, en marge de l’Assemblée générale des Nations Unies. Pour le diplomate panafricain, « cette question est sur la table du Conseil de sécurité de l’ONU… » Il a expliqué au président du comité de haut niveau, les étapes à entreprendre pour une effective implication de l’UA dans le dossier libyen », a déclaré Moussa Faki Mahamat.
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