Sous le parrainage de l’ambassade de la République du Congo en République française représentée par le Ministre Conseiller agissant en qualité de Chargé d’Affaires, Paul Maloukou, la société AASDPAC Healthcare représentée par son gérant Auguste Loko et la Société C3Medical France, représenté par son gérant Jérôme Soistier ont signé le 12 mars 2019 un protocole d’accord et une convention de partenariat pour les évacuations sanitaires du Congo vers le Maroc ou la France. La signature a eu lieu à Paris dans les locaux de l’ambassade de la République du Congo.

Echange des parapheurs entre les signataires sous le regard du Ministre Conseiller Paul Maloukou
Ce protocole d’accord et cette convention de partenariat concernent entre autres :
- Organisation d’évacuations sanitaires et de parcours de soins vers l’étranger ;
- Echange de professionnels et d’étudiants avec les établissements de référence ;
- Formation et partage d’expertise sur les domaines ciblés ;
- Montage de projet commun en recherche, formation et organisation des soins.

Photo de famille
L’AASDPAC Sarl au capital de 1.000.000 de FCFA, sise à Brazzaville ; société de droit congolais a pour objet d’apporter aides et soins à domicile aux personnes âgées atteintes de maladie invalidante, en mettant à leur disposition des aides, des soignants et des auxiliaires de vie sociale destinés à améliorer leur qualité de vie par tout moyen approprié ;
D’apporter de la formation de qualité aux professionnels dans le champ spécifique de la gérontologie et du handicap.
C3Medical Sarl au capital de 50.983,41 euros sise rue Notre Dame de Lorette, 75009 Paris, République française ; société de droit français est une société de prestations de services spécialisée dans l’accompagnement de patients étrangers durant leur séjour de soins en France et au Maroc. Elle organise et coordonne des prestations médicales et logistiques en partenariat avec son réseau de prestataires des services.
M. Paul Maloukou a félicité les deux signataires et a applaudi leur initiative. Cependant il a attiré leur attention sur l’importance de la santé qui est un domaine très sensible. Par conséquent il ose espérer que l’AASDPAC et C3Medical respecteront leurs engagements et garderont sauf l’honneur de l’ambassade de la République du Congo qui a accepté de parrainer la signature de leur protocole d’accord et leur convention de partenariat.

la ministre de la Jeunesse et de l'Education Civique,Destinée H. Doukaga après sa présentation publique
À l'occasion de la clôture de la deuxième édition de la semaine médicale Edith Lucie Bongo Ondimba, la ministre de la Jeunesse et de l'Education Civique, Destinée Hermella Doukaga a fait une présentation publique sur les opportunités offertes aux jeunes Congolais par le nouveau Centre de recherches et des études des pathologies infectieuses et tropicale (C.R.E.P.I.T) qui a été inauguré ce 13 mars à OYO par le Président de la République, Denis SASSOU NGUESSO . Ces opportunités, a-t-elle précisé, se présentent en termes de réponses aux besoins en formations professionnelles et vocationnelles des jeunes et représentent un élargissement du champ des possibilités en termes d'orientations professionnelles pour les jeunes Congolais.

Photo de famille à la fin de la semaine médicale Edith Lucie Bongo Ondimba
L’institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), dans le cadre du Briefing des ambassadeurs, a organisé un petit déjeuner autour d’une conférence intitulée « Défense et guerre de l’information » animée par le directeur adjoint du Centre d’analyse, de prévision et de stratégie du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères, Alexandre Escorcia.

Alexandre Escorcia du Centre d’analyse, de prévision et de stratégie du ministère de l’Europe et des Affaires étrangères.
Le « Briefing des ambassadeurs » est un rendez-vous qui a pour but de réunir régulièrement, les ambassadeurs autour de hauts représentants français, sur les grandes thématiques de politique étrangère et de défense. C’est ainsi que l’Ambassadeur de la République du Congo en République française y a été invité.
La conférence de ce mercredi 13 mars sur « Défense et guerre de l’information » a eu pour centre d’intérêt le rapport d’une enquête sur les manipulations de l’information dont le conférencier est co-auteur.

Vue partielle de l’assistance
Cette enquête révèle que les manipulations de l’information ne sont pas un phénomène nouveau. Leur actualité récente est liée à la combinaison de deux facteurs : d’une part, les capacités inédites de diffusion rapide et de viralité offertes par internet et les réseaux sociaux, couplées, d’autre part, à la crise de confiance que vivent nos démocraties
D’après l’enquête ce phénomène qui s’est illustré par plusieurs ingérences ces dernières années menace la sécurité nationale.
Les manipulations de l’information dont il a été question ici sont celles d’origine étatique et visant à fragiliser ou à déstabiliser le débat démocratique dans d’autres États.
Cela étant, le rapport a mis en avant des traits distinctifs des récentes campagnes de manipulation de l’information avant de formuler des recommandations, partant du principe que les manipulations de l’information continueront de constituer un défi de longue haleine pour nos démocraties, auquel elles devront apporter une réponse participative, libérale et respectueuse des droits fondamentaux.

Les délégués de la République du Congo (le conseiller à la communication et l'attaché de défense)
Notons que l’Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), fondé en octobre 1936, est un établissement public administratif français d'expertise et de sensibilisation en matière de Défense, placé sous la tutelle directe du Premier ministre.
Malgré sa localisation à l’Ecole militaire, l'IHEDN n'est pas une école militaire, mais un institut de formation qui vise à « promouvoir l'esprit de défense du territoire national ». Sa mission consiste à préparer des hauts-fonctionnaires, des officiers généraux ou supérieurs et des personnes particulièrement qualifiées d'un point de vue économique ou social à tenir les emplois les plus élevés dans les organismes chargés de la préparation et de la conduite de la guerre.
La nouvelle chapelle catholique de la paroisse Notre Dame de l'assomption d'oyo a été inaugurée par le Président de la République le 10 mars 2019, date anniversaire de la naissance de sa fille aînée Edith Lucie Bongo Ondimba, ancienne première dame du Gabon. Denis Sassou-N'guesso a remis les clés à monseigneur Abagna Mossa, évêque d'Owando. Le président de la République a financé la construction de cet ouvrage en souvenir de la volonté de sa regrettée fille aînée.

Ce nouveau bâtiment construit à côté de l'ancienne chapelle est un cadeau de plus du chef de l'Etat à l'église catholique et à ses fidèles. Denis Sassou N'Guesso vient là de concrétiser le projet de sa fille, feue Edith Lucie Bongo Ondimba qui, avant sa mort, avait fait la promesse de doter la paroisse d'Oyo d'un temple qui aspire à l'ère du temps. D'une capacité d'accueil de 700 places assises, l'église Notre-Dame de l'assomption d'Oyo est désormais citée parmi les meilleures paroisses du Congo.
Après sa consécration et sa bénédiction, elle a abrité sa première célébration eucharistique. Trois temps forts ont marqué l'évènement la première à consisté en la bénédiction de la cloche dénommée Edith Lucie Bongo Ondimba et en la bénédiction de la porte d'entrée centrale de l'église par monseigneur Victor Abagna Mossa suivies du dévoilement de la plaque inaugurale et de la remise des clés de l'église par le mécène DENIS SASSOU N'GUESSO.

Le deuxième temps fort à été consacré à la liturgie de la messe. Ici les enseignements sont tirés du livre de Deutéronome 26 verset 4 à 10, de la lettre de saint Paul apôtre aux romains chapitre 10 , verset 8 à 13 et l'évangile de Luc chapitre 4 verset 1 à 13.
Troisième temps fort, c'est l'eucharistie. A la fin du culte monseigneur victor Abagna Mossa a gratifié le président de la République d'une bible et des tableaux













Les deuxièmes journées médicales Edith Lucie Bongo Ondimba ont eu lieu à Oyo les 8 et 9 mars 2019. Celles-ci, placées sous le thème : « défi de l'Afrique face aux maladies tropicales émergentes et réémergentes », ont ouvert la série d’activités commémoratives des 10 ans de la disparition de celle à qui ces journées sont dédiées, nous avons cité Edith Lucie Bongo Ondimba, fille aînée du président de la République Denis Sassou-N’guesso et ancienne Première dame du Gabon.

Le président de la République aux 2èmes journées médicales Edith Lucie Bongo Ondimba
Ainsi, ces journées se sont proposées cette année de garder dans tous les cœurs le caractère d’une femme vouée à l’humanité, et ont montré au public ce que sont devenues les hépatites virales 30 ans après la thèse de doctorat en médecine que l’illustre disparue à soutenu en 1989 sur les valeurs biologiques de l’hépatite virale et le VIH.
Les journées médicales Edith Lucie Bongo Ondimba qui se sont muées en association à but non lucratif ont pour objectif :
- la contribution au renforcement des capacités des professionnels de la santé au Congo ;
- la prévention des pathologie graves les plus fréquentes au Congo ;
- l’appui à l’organisation des manifestations scientifique ;
- la promotion de l’éducation et la sensibilisation des populations dans le domaine de la santé.

Le professeur Nkoua Mbon, président de l’association JMELBO à gauche et deux conférenciers
Au cours des deuxième journées médicales il s'est agi pour les conférenciers, parmi lesquels d’éminents professeurs et docteurs venus de plusieurs pays notamment de la France du Maroc et du Cameroun, d'échanger autour des pathologies infectieuses et tropicales, des cancers et soins palliatifs, des pathologies chroniques et leurs complications.
Dans un échange inter actif, le président de la République s'est interrogé jusqu'à quand faut-il aller pour dire la vérité aux malades. La ministre de la santé et de la population a informé les invités sur les efforts entrepris par le gouvernement dans la campagne de vaccination gratuite contre l'hépatite B au Congo. Le ministre de l'enseignement supérieur a, quant à lui souhaité, revisiter le rôle du médecin. Enfin le professeur Nkoua Mbon, président de l’association “Journées médicales Edith Lucie Bongo Ondimba“ a pour sa part émis le vœux de voir les gouvernants mettre à la disposition du personnel soignant, des moyens conséquents devant leurs permettre de faire face à l'évolution fulgurante des technologies de médecine.

Le président de la République entouré des conférenciers aux 2èmes journées médicales Edith Lucie Bongo Ondimba
Président en exercice de la Conférence internationale sur la région des Grands Lacs (Cirgl), le chef de l'Etat congolais se dit préoccupé par l'allure que prennent les relations entre les deux pays membres de cet espace. En effet, entre Kigali et Kampala, il y a bien longtemps que les relations ne sont plus au beau fixe. Ces derniers mois, les arrestations et expulsions de Rwandais accusés de travailler en Ouganda pour le compte de Kigali et les rumeurs de collaboration entre Kampala et des groupes rebelles rwandais ont contribué à détériorer les rapports entre les deux pays, et ce alors que Paul Kagame a succédé le 1er février à Yoweri Museveni à la tête de l’East African Community (EAC).
Plutôt que d'attendre que la situation empire, le président de la République a dépêché son ministre des Affaires étrangères, de la Coopération et des Congolais de l’étranger au Rwanda et en Ouganda, avec un message pour chacun de ses homologues.

Le ministre des Affaires étrangères ,Jean-Claude Gakosso reçu par le président de la République du rwanda Paul Kagame
Jean-Claude Gakosso a été reçu, le 8 mars à Kigali, la capitale du Rwanda, puis à Kampala, en Ouganda, par Paul Kagame et Yoweri Museveni.
Au Rwanda, le patron de la diplomatie congolaise et le chef de l'Etat de ce pays, Paul Kagame, ont largement abordé les relations bilatérales entre les deux pays avant que l'envoyé spécial du président congolais ne lui transmette le message écrit de Denis Sassou N’Guesso.
Même schéma à Kampala où, après avoir transmis le message au président ougandais, les deux personnalités se sont longuement entretenues sur la nécessité du bon voisinage.

Le ministre des Affaires étrangères ,Jean-Claude Gakosso reçu par le président de la République de l'ouganda Yowéri Musévéni
Rappelons que le président ougandais vient de remplacer le Congolais Denis Sassou N’Guesso à la tête du Mécanisme de suivi de l'Accord-cadre de coopération sur la RDC et la région. De son côté, le président Kagame venait d'achever un mandat jugé positif à la tête de l'Union africaine.
Jocelyn Francis Wabout
Denis Sassou-N’guesso est arrivé à Oyo ce vendredi 8 mars 2019 dans l’après-midi. Le séjour du président de la République dans cette localité du département de la Cuvette au nord du Congo s’inscrit dans un cadre strictement privé mais il se pourrait qu’il accomplisse des actes liés au fonctionnement de l’Etat.






L’ambassade de la République du Congo a procédé ce vendredi 8 mars 2019 à la remise des passeports aux congolaises et congolais résidant en France qui en avaient exprimé la demande. Cette opération initialement programmée samedi 2 mars a dû être ajournée à cause des manifestations dites des « Gilets jaunes sur la place de l‘étoile.

Au total 1016 passeports ont été délivrés. Leur remise entre dans le cadre de l’amélioration des prestations en direction des compatriotes. L’Ambassadeur du Congo en France, Rodolphe Adada a réitéré cet engagement le 18 janvier dernier à l’occasion de l’échange des vœux.

« L’année 2019 devra être celle de la continuation de notre effort. Notre service en direction de nos compatriotes devra se fluidifier davantage. Les queues doivent diminuer sinon disparaître » avait-il déclaré à cette occasion.

Après avoir donné aux ressortissant la possibilité de demander et d’obtenir la délivrance de leur passeport biométrique et sécurisé à Paris, l’ambassade, dans la droite ligne des efforts déjà accomplis, poursuit les échanges avec les plus hautes autorités nationales afin de réduire au maximum les délais d’attentes.

Les concitoyens doivent savoir que notre site « ambacongofr.org » est opérationnel. Ils devraient se référer à ce site qui constitue le lien idéal d'échanges entre eux et l'ambassade. Et puis désormais le retrait des passeports se fera tous les vendredis de 9h00 à 17h00 sur présentation du récépissé d’enrôlement et d'une pièce d'identité en cours de validité. Ceux qui seraient empêchés peuvent mandater une tierce muni du récépissé d’enrôlement avec une procuration.
37 Bis Rue Paul Valéry, 75116 Paris, France
Horaires de Travail (sans intérruption) :
Ouverture (opening) : 09H00
Fermeture (closing) :16H00
Téléphone :+33 1 45 00 60 57
Email: contact@ambacongofr.org
66 Quai de Boisguilbert 76000 Rouen
Téléphone :+33 7 67 02 63 30
Email :congoconsul.rouen@gmail.com