Le Congo joue un rôle important dans la coopération Chine Afrique. Ces propos sont de Ma Fulin, ambassadeur de Chine au Congo. Le diplomate chinois a échangé ce mercredi avec le chef de l'Etat Denis Sassou-N'Guesso. La coopération Congo-Chine et notamment le projet de réalisation de la zone économique spéciale de Pointe-Noire ont été largement évoqués à cette occasion.

Le président Denis Sassou-N’guesso et l’ambassadeur de Chine au Congo

La coopération entre la République du Congo et la République populaire de Chine, on ne le dira jamais assez, se porte comme un charme. L’excellence de celle-ci  est attestée par les multiples échanges de délégations et par les nombreux projets qu’ils ont en commun.

Au terme de ses discussions avec Denis Sassou-N'guesso, le diplomate chinois a donné à entendre que son pays va poursuivre ses efforts dans la concrétisation de la zone économique spéciale de Pointe-Noire, projet cher au chef de l'Etat congolais.

Ma Fulin a rappelé que toujours pour donner plus de gage à la matérialisation de la coopération entre le Congo et la Chine, le président Xi Ji Pin, lors de la dernière de son homologue congolais à Beijing en septembre 2018, a annoncé un don d’un milliard de Yuans Renminbi, soient un peu plus de 85 milliards de francs CFA et encouragé les hommes d’affaires chinois à investir au Congo. Pour la gouverne, le Congo est devenu avec la Tanzanie, le Kenya et l’Ethiopie un pays pilote en matière de coopération avec la chine en Afrique et le partenariat entre le Congo et la chine a été élevé au rang de « partenariat stratégique global ».

Le président Denis Sassou-N’guesso s'entretenant avec l’ambassadeur de Chine au Congo

Sur le plan politique Denis Sassou-N’guesso et son interlocuteur ont évoqué l’actualité brûlante de la République démocratique du Congo dominée par la montée des contestations après les résultats provisoires des élections générales du 30 décembre 2018 dans ce pays. L’ambassadeur chinois a salué les efforts inlassables que le président congolais déploie en faveur de la paix et la stabilité dans la sous-région en proie à des crises incessantes.

La situation post électorale en République démocratique du Congo était au cœur des entretiens que le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’guesso en sa qualité de président en exercice de la Conférence internationale sur la Région des Grands lacs (CIRGL ) a eus avec Antoine Ghonda, l’émissaire de son homologue Joseph Kabila.

Le président Denis Sassou-N’guesso et l’émissaire du président de la RDC

L’envoyé spécial du président RD congolais a donné au président de la République Denis Sassou N’guesso la version officielle du processus électoral en RDC. En effet depuis la publication des résultats provisoires des élections générales du 30 décembre 2018 la contestation ne cesse de monter et une polémique politique a vu le jour dans le pays et à l’étranger au risque de compromettre la paix et la stabilité en République démocratique du Congo.

La démarche du président Joseph Kabila s’inscrit dans le processus politique susceptible d’améliore la confiance des uns envers les autres conformément aux recommandations du président en exercice de la CIRGL dans sa déclaration du 13 janvier 2019 sur la contestation des élections présidentielle et législatives.

La situation post électorale en RDC étant au centre des préoccupations, aussi bien des autorités de la RDC elles-mêmes que des chefs d’Etat des pays membres de la CIRGL, il est normal que le président Joseph Kabila par l’entremise de son envoyé spécial transmette au chef de l’Etat congolais ses explications   sur le déroulement des élections générales.   La sagesse et l’expérience du président DSN sont en pareille circonstance sollicitées.

« C’est tout à fait normal que nous soyons venus ici pour rendre compte au président DSN, président en exercice de la CIRGL, du déroulement du processus électoral, lui donner la température car c’est très important pour lui qui, en ce moment crucial, ne ménage aucun effort pour que la situation en RDC ne dégénère point. Nous voulons aussi bénéficier de l’expertise et de la sagesse que le président Denis Sassou-N’guesso incarne » a déclaré Antoine Ghonda Antoine qui est aussi venu solliciter l’expertise du chef de l’Etat congolais en matière du processus démocratique.

Le président Denis Sassou-N’guesso et l’émissaire du président de la RDC

La situation sociopolitique dans la sous-région, comme on peut le constater à travers ces échanges, a toujours retenu l’attention du président Denis Sassou-N’guesso dans le seul souci de préserver la paix et la stabilité,

 Une conférence sous le thème « L’Afrique dans la francophonie : cas de Brazzaville capitale de la France libre » a été donnée par M. Brice Mankou, français d’origine congolaise, élu municipal de la ville de Lens, docteur en sociologie, maître de conférences, jeudi 10 janvier 2019 à l’IUT de Béthune.

M. Brice Mankou,le conférencier

La conférence organisée par l'Université du Temps libre Jean Buridon a connu la participation d'une délégation de l'Ambassade de la République du Congo en France conduite par M. Paul Maloukou Ministre Conseiller.Elle a été précédée d’un déjeuner avec les membres du conseil d’administration de l’Université du Temps libre Jean Buridan. Au cours de ce déjeuner, moment d’échanges fructueux, ont été évoqués des possibilités de partenariat entre des associations de Béthune et des collectivités locales au Congo. C’est ainsi que la partie congolaise a été informée d’un projet de centre d’apprentissage en couture au profit des filles mères qu’un membre de l’association souhaiterait monter à Brazzaville. Le financement serait disponible et l’initiatrice du projet sollicite un apport en terrain pour ériger le centre au Congo.

S’agissant de la conférence, l’orateur a abordé la situation du français et de la francophonie en Afrique en insistant sur le cas particulier de la République du Congo dont Brazzaville fut la capitale de la France libre.

Le conférencier a ensuite évoqué les freins qui empêchent la francophonie d’être ce vecteur social, culturel, politique et économique des peuples francophones. Il a cité entre autres la non-activation de la coopération inter-universitaire, la hausse vertigineuse des frais d’inscription dans les universités de France pour les étudiants étrangers notamment africains et la non prise en compte des langues africaines dans la diversité linguistique et culturelle.

Vue partielle de l’assistance

M. Brice Mankou s’est aussi interrogé sur que sera l’avenir de la francophonie. Il a suggéré que soit réinventée la francophonie en la rendant plus ouverte et plus pragmatique.

Concluant son propos il a déduit que l’Afrique n’est plus ce continent lointain que l’on doit négliger. Et il ajoute que si nous sommes francophones, nous devons travailler dans un partenariat gagnant-gagnant.

Invité à prendre la parole, le ministre conseiller, dont la présence avec sa suite confirme l’attachement des autorités congolaises à la francophonie, a salué l’initiative qui rappelle le rôle joué par Brazzaville qui fut entre 1940 et 1944 capitale de la France Libre. Il a saisi cette occasion pour féliciter deux jeunes compatriotes qui étudient à l’IUT de Béthune et dont les résultats honorent la République du Congo. Mesdemoiselles Danielle Banzouzi et Emmanuelle Ngono, c’est leur nom, ont réalisé des moyennes qui comptent parmi les meilleures de l’établissement.

M. Paul Maloukou Ministre Conseiller

De nombreux adhérents de l'association l’Université du Temps libre Jean Buridon ont exprimé leur très grande satisfaction; ils ont beaucoup apprécié  la conférence de Brice Mankou , l’intervention de Danielle Banzouzi, la jeune Etudiante congolaise du Département  GMP de l’IUT , la qualité des échanges avec l’auditoire ainsi que l’intervention du Ministre Conseiller en fin de conférence

 La délégation de l’Ambassade de la République du Congo en compagnie des deux étudiantes congolaises de l’UIT de Béthune

A Béthune le ministre conseiller et sa délégation ont eu aussi une séance de travail avec l’adjointe au maire de Beuvry, madame Deni sur le projet de mise en œuvre d’un jardin du souvenir des soldats et tirailleurs africains à Beuvry dans le Pas de Calais. Les deux parties ont convenu d’attendre la décision du conseil municipal sur l’approbation du projet avant d’engager toute discussion y relative.

Denis Sassou N’Guesso, a salué, ce 8 janvier 2019 à Brazzaville, les initiatives prises par les forces vives de la Nation en vue de consolider l’unité et la cohésion nationales tout en les rassurant qu'en 2019 l'espoir est permis pour la relance économique. Le chef de l’Etat congolais s’exprimait à l’occasion de la cérémonie d’échange des vœux avec ces forces vives au palais du peuple.

Denis Sassou N'Guesso s'adressant aux forces vives.

La série des cérémonies d’échange des vœux avec le président congolais qui a débuté le 05 janvier dernier est arrivée à son terme ce lundi, 8 janvier 2019. La boucle a ainsi été bouclée par les forces vives de la Nation, entendues les partis politiques, les confessions religieuses, les associations et organisations de la société civile. A l’opposée des deux précédentes cérémonies qui ont eu lieu dans la salle des ambassadeurs du palais du peuple, la dernière s’est déroulée dans la cour du même palais. C’est une cour baignée dans une atmosphère inhabituelle, avec plus de huit cents personnes invitées par les services du protocole nationale. Ceux-ci les ont installées dans des chapiteaux déployés pour la circonstance, avant de les aligner, soigneusement, en deux rangs parallèles, allant de l’entrée principale de la cour au perron du Palais du peuple. Des jeunes, des vieux, des femmes et des hommes, des anciens ministres, des opérateurs économiques, bref, presque toutes les couches de la société congolaise y étaient représentées. C’est dire combien serrer la main du président de la République au début de l’année est d’un intérêt considérable pour nombre de Congolais. La foule bercée par la musique des bantous de la capitale, notamment s’est mise en effervescence à l’arrivée du président de la République et son épouse sur les lieux, où ils ont été accueillis par des salves d’applaudissements. S’en est suivi, le discours de M. Céphas Germain Ewangui, secrétaire permanent du Conseil consultatif de la société civile et des organisations non-gouvernementales. Il a, au nom des forces vives de la Nation, salué le couple présidentiel, avant de féliciter le président de la République pour avoir mis en place l’ensemble des institutions constitutionnelles et pour avoir permis au Congo de « faire un pas de géant dans sa marche continue vers l’édification d’une société démocratique ».

Céphas Germain Ewangui, secrétaire permanent du Conseil consultatif de la société civile et des organisations non-gouvernementales. 

 Pour Céphas Germain Ewangui, les forces vives de la Nation marquent « leur pleine adhésion » à une lutte sans merci contre les auteurs des crimes économiques, dans le strict respect des principes sacro-saint de la présomption d’innocence ». Le secrétaire permanent du conseil consultatif de la société civile et des organisations non-gouvernementales a terminé son propos en assurant le président de la République de la foi des forces vives de la Nation en un avenir radieux du Congo, avant d’adresser ses vœux de nouvel an au couple présidentiel. En réponse à ce message des forces vives de la Nation, Denis Sassou N’Guesso a émis le vœu de voir les citoyens, les associations et les organisations non-étatiques entretenir des synergies nécessaires. Car, pour lui, la solidarité, l’exemplarité et la confiance doivent en demeurer les piliers essentiels de la République. Il a salué les organisations de la société civile pour leurs prestations remarquables, lors du passage du Congo à l’examen périodique universel du Conseil des droits de l’homme des Nations Unies, en novembre 2018 à Genève. Des orientations pour 2019 Évoquant les perspectives de 2019, Denis Sassou N’Guesso a rassuré l’ensemble des forces vives nationales que l’espoir est permis car, selon lui « les efforts déployés pour la relance de notre économie sont porteurs d’espérance et d’assurance pour l’avenir. » Saluant les initiatives prises par les forces vives de la Nation, chaque fois que l’unité et la cohésion nationales ont été mises à l’épreuve, le président congolais a appelé les organisations de la société civile à « davantage de concertation par des propositions pertinentes, en mesure d’impulser la prise en charge et la résolution des préoccupations auxquelles le Congo se trouve confronté ». Il a exhorté les acteurs de la Société civile « à se joindre aux efforts de conscientisation et de réarmement moral de nos compatriotes, notamment des jeunes et des femmes, en cette étape délicate de notre marche vers le développement. » Aux organisations professionnelles, partis politiques et aux groupements d’intérêt économique ou socio-culturel, le chef de l’Etat a demandé la mobilisation pour lutter contre les antivaleurs de toute nature, y compris les formes nouvelles de violence constatées dans les périphéries de nos grandes agglomérations. Pour clore la cérémonie, Denis Sassou N’Guesso est allé au plus près des Forces vives de la Nation dans le jardin du palais du peuple.

Dans le jardin du palais du peuple.

On a vu ainsi de l’agitation dans la foule qui manifestait son impatience de serrer la main du président de la République. Denis Sassou N’Guesso a ainsi fait la ronde des chapiteaux pour serrer la main de chaque congolais présent sur place. L’exercice paraissait plaire au chef de l’Etat qui ne se fatiguait pas de saluer, poser en photo et discuter avec les uns et les autres.

Alwihda Info | Par Olive Jonala 

 Les membres des institutions constitutionnelles et des administrations publiques se sont conformés à la tradition, ce lundi 7 janvier 2019, en sacrifiant au rituel de présentation des vœux de nouvel an au couple présidentiel au cours d’une cérémonie haute en couleur au Palais du peuple.

Une cérémonie qui s’est inscrite dans le sillage du discours sur l’état de la Nation, du chef de l’Etat Denis Sassou-N’Guesso, prononcé le 29 décembre 2018. Ce message sur l’état de la Nation a annoncé l’installation intégrale du dispositif institutionnel prévu par la constitution du 25 octobre 2015 et c’est l’engagement qu’avait pris le président de la République d’assurer la mise en place de toutes les institutions constitutionnelles.

C’est ainsi qu’une innovation a été constatée cette année et celle-ci est venue du côté des conseils consultatifs nationaux qui ont présenté pour la première fois leurs vœux au couple présidentiel. En effet, créer conformément à la nouvelle loi fondamentale du 25 octobre 2015, ces conseils consultatifs ont vu le jour courant 2018.  Il s’agit notamment du conseil national du dialogue, du conseil consultatif des sages et des notabilités, du conseil consultatif de la société civile et des organisations non gouvernementales, du conseil consultatif de la jeunesse ainsi que du conseil consultatif de la femme.

Par ailleurs, les corps constitués nationaux ont dû dès cet instant précis marquer leur volonté de répondre aux exigences fixées par le président Denis Sassou-N'guesso en 2019, année placée sous le signe du travail,de la lutte contre la corruption, de l'accès des congolais aux services sociaux de base,de la diversification de l'économie et du rayonnement du Congo sur la scène internationale.

Ainsi, à tour de rôle, les membres des institutions constitutionnelles et des administrations sont passés serrer la main du couple présidentiel, pour présenter les meilleurs vœux pour l’année nouvelle. En serrant la main du président de la République, les membres de ces institutions et bien d’autres qui ont accompli ce geste, recevaient, par-là, une orientation de travail pour 2019.

Comme à l’accoutumé et conformément aux us et coutumes protocolaires, c’est le président du Sénat, Pierre Ngolo, qui le premier s’est prêté à l’exercice de présentation des vœux au couple présidentiel. Il a été suivi par président de l’Assemblée Nationale, Isidore Mvouba. Le premier ministre, Clément Mouamba a accompli le même geste

La série de présentation des vœux au couple présidentiel prendra fin ce mardi 8 janvier 2018, dans les jardins du palais du peuple, avec les Forces vives de la Nation.

Au centre hospitalier universitaire de Brazzaville CHU-B, la direction générale change de main.  M. Sylvain Villiard est nommé directeur général de cette formation sanitaire par décret présidentiel 2019 - 4 du 7 janvier 2019. Il succède à Jérémie Mouyokani qui en assurait l’intérim depuis le 11 juillet 2017.

Sylvain Villiard nouveau DG du CHU-B

 Sylvain Villiard est un avocat et gestionnaire chevronné. Il a dirigé le projet de modernisation du Centre Hospitalier de l’Université de Montréal. A titre d’avocat général et secrétaire général du Centre Hospitalier de l’Université de Montréal, il a acquis une connaissance approfondie des enjeux de gouvernance, des lois régissant le secteur de la santé, du droit de propriété intellectuelle et de certains contrats à l’international. Sylvain Villiard est secondé par M. Ulrich Judicaël Biez nommé directeur général adjoint par décret présidentiel n° 2019-5 du 7 janvier 2019

Célébration ce 11 janvier 2019 de la journée nationale du civisme, instituée par décret N°2018-325 du 17 août 2018. Thème central : le civisme face aux défis du développement. Lieu : hôtel de la préfecture de Brazzaville. Heure : 9h,

 La ministre de la Jeunesse et de l'Education civique, Destinée Hermella Doukaga a reçu en audience le 2 janvier 2019 l'ambassadeur du Congo à l'Union africaine Lazare Makaya Safouesse. Le représentant permanent du Congo à l'organisation panafricaine était porteur d'un bon message de l'UA au sujet de nouvelles perspectives pour les jeunes africains et congolais en particulier.

Quelques trois jours avant cet entretien avec l'ambassadeur du Congo à l'Union africaine, la ministre de la Jeunesse et de l'Education civique a invité l'ensemble des congolais à méditer sur les couleurs de la nation,assurance de notre identité commune. Connaitre son drapeau c'est connaitre sa nation a-t-elle dit t-elle dit.Sur son compte tweeter elle a même posté une vidéo dans laquelle sont décrites les caractéristiques du drapeau national. 

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 Le Président de la République chef suprême des armées, Denis Sassou N’Guesso, a insisté le 31 décembre dernier, sur la nécessité de renforcer les capacités de la Force publique à tous les niveaux en trois axes notamment, la discipline, l’organisation et la relation permanente et étroite entre les Forces Armées Congolaises (FAC) et le peuple. Le Président de la république a donné cette orientation lors du réveillon d’armes de 2018, célébré le 31 décembre de chaque année.

Denis Sassou N'Guesso s'adressant à la force publique

 Moment de communion et de bilan entre le président de la République chef suprême des armées, et la troupe, moment où il écoute le rapport de l’année écoulée, dressé par le Chef d’Etat-major Général (CEMG) des FAC et donne des orientations pour l’année nouvelle, moment solennel où le militaire subalterne peut dialoguer directement avec lui, le réveillon d’armes de cette fin d’année 2018, a été l’occasion pour le président de la République de féliciter l’ensemble des éléments de l’armée, de la police et de la gendarmerie, pour les efforts accomplis dans le maintien et la sauvegarde de la paix, notamment dans le département du Pool, avec la signature des accords de cessation des hostilités entre la force publique et les ex-combattants du pasteur Ntoumi et le rétablissement de l’autorité de l’Etat.

Dans la feuille de route de 2019, qu’il a adressée à la Force Publique, le président Denis Sassou N’Guesso, précise, entre autres qu’en 2019, les ressources humaines et financières seront mobilisées, en vue d’assurer un développement graduel, constant, harmonieux et cohérent des forces armées. Se voulant être pragmatique,le chef suprême des armées a instruit le haut commandement de la force publique de réussir l’accomplissement des missions dévolues aux hommes en uniformes avec peu de moyens, ceci dans le dessein de reconfigurer et de moderniser la force publique, tout en lui donnant les moyens et outils de sauvegarde des intérêts vitaux et stratégiques.

 Avant que le chef suprême des armées ne déroule sa feuille de route il y a eu la présentation du rapport des missions qu’il a assignées à la force Publique en 2018. Ce rapport a été lu par le chef d’état-major des Forces armées congolaises, Guy Blanchard OKoï qui s’est dit satisfait des résultats obtenus. En somme, a-t-il rappelé, tout devrait concourir en 2019 à la consolidation du lien Force publique-Nation.

Vue partielle de la Force publique

Le chef d’état-major général des forces armées congolaises, a résumé l’essentiel de la mission du soldat, du gendarme et du policier en cinq axes principaux : la préservation de l’ordre public, l’amélioration des conditions de vie et de travail, la relance du sport militaire, l’organisation des compétences territoriales et la mise en place du cadre administratif et stratégique. Le tout devrait se réaliser dans le travail, la discipline et la rigueur.