Les relations que la république du Congo entretient avec la Bosnie-Herzégovine,la Croatie, la Macédoine du nord,la Slovénie et la Serbie sont excellentes. La preuve en a été donnée par l'entretien que Rodolphe Adada, l’ambassadeur de la république du Congo en République française a eu mardi 9 avril 2019 avec ses homologues Ivan Orlic de la Bosnie-Herzégovine, Filip Vucak de la Croatie, Agron Buxhaku de la Macédoine du nord, Andrej Slapnicar de la Slovénie et Rajko Rijtic de la Serbie.
Cette rencontre était inscrite dans le cadre des consultations régulières entre la république du Congo et ces anciens pays issus de l’Ex-Yougoslavie.
Au cours de la rencontre qui s’est déroulée dans une atmosphère chaleureuse et empreinte d’amitié, Rodolphe Adada et ses interlocuteurs ont abordé spécifiquement des questions bilatérales. Les relations entre le Congo et les pays issus de l’Ex-Youglosavie ont toujours été bonnes. C'était déjà le cas lorsqu’ils étaient unifiés. Pour preuve, jusqu'en 1991 année de leur éclatement des centaines d’étudiants congolais faisaient leurs études en République fédérative socialiste de Yougoslavie.
Remise du drapeau de l’Opep au Président de la République par les ministres des Affaires étrangères et des Hydrocarbures
Le président de la République, Denis Sassou-N'Guesso reçoit le drapeau symbolisant l'adhésion du Congo à l'Organisation des pays exportateurs de pétrole (Opep). Ce sont les ministres Jean Claude Gakosso des Affaires étrangères et Jean Marc Thystère Tchicaya des hydrocarbures, qui ont eu l'insigne honneur de le lui apporter ce jeudi 11 avril 2019 après une tournée en Afrique et au Moyen-Orient. " Le président de la République nous a instruits mon collègue le ministre des Affaires étrangères et moi-même, pour sillonner un certain nombre d'États. Nous étions porteurs d'un message du président de la République. Aujourd'hui, nous lui avons apporté les symboles des armoiries de cette organisation, puisque nous faisons maintenant partie intégrante de l'Opep". Ces propos sont de Jean-Marc Thystère Tchicaya annonçant la bonne nouvelle. Et mieux, il ajoute que cette adhésion du Congo à L'Opep lui procure des avantages multiples. Il s'agit entre autres de la formation à titre gracieux de jeunes congolais au niveau de cette prestigieuse organisation basée à Vienne, des rencontres bilatérales et multilatérales pour vendre la destination économique Congo, l'accès au fonds de l'Opep évalué a 10 milliards de dollars par an pour des projets éligibles par ce fonds.
“Ce sont avantages extrêmement importants pour attirer les investisseurs dans le secteur des hydrocarbures et dans d'autres secteurs tels l'agriculture, le tourisme et bien d'autres qui permettront la diversification de l'économie nationale” a ajouté Jean Marc Thystère Tchicaya. Il a par ailleurs, annoncé les préparatifs de la visite dans les prochains jours du Secrétaire général de l'Opep, Alhadji Mohamed Sanusi Barkindo à Brazzaville.
L'adhésion du Congo à l'Opep a été acquise de haute lutte. Elle résulte sans conteste des actions fructueuses de la diplomatie congolaise effectuées par Denis Sassou-N'Guesso a fait savoir le ministre Jean Clause Gakosso.
“Un peu partout, nous sommes passés pour plaider la cause du Congo. Nous avons bénéficié d'oreilles attentives parce que nous venions de la part du président Sassou-N'Guesso que l'on connaît, qui a mené des actions que l'on connaît. Et c'est une victoire pour notre pays de faire partie aujourd'hui de cette organisation que l'on appelle Opep, qui influe sur le cours des prix du pétrole, dont le siège est à Vienne en Autriche. La diplomatie congolaise a su jouer sa partition, humblement" a déclaré le ministre des Affaires étrangères.
Jean Claude Gakosso a aussi fait savoir que le siège de l'Organisation des producteurs de pétrole africains (APPO) sera maintenu à Brazzaville; encore une victoire pour le Congo.
Audrey Fleur GALIBA
Crédit photo : presse présidentielle.
Le président de la République recevant le président de l’Union des chambres de commerce européennes
Brazzaville va abriter un forum sur le commerce et l'investissement en octobre prochain. Dans la perspective de la tenue de ses assises, une délégation conduite par le président de l'Union des Chambres de commerce européennes,Guy Bultynck a été reçue par le président de la République, ce 11 avril 2019, au Palais présidentiel.
Entretien du président de la République avec le président de l’Union des chambres de commerce européennes
Guy Bultynck, homme d'affaires belge est à Brazzaville dans le cadre de la mission préparatoire dudit forum dont le but est de créer les conditions nécessaires à la participation du Congo au commerce mondial. Le pays a d'énormes potentialités mais il manque de visibilité sur la scène internationale d'après le président de l'Union des chambres de commerce européennes.
“Le Congo est un pays qui doit se faire connaître davantage, il devra plus extérioriser est un peu timide dans le monde. Vous avez un pays riche et stable,” a indiqué Guy Bultynck "Le monde des affaires belge et luxembourgeois va se déplacer et venir à la rencontre du monde économique congolais, pour développer des échanges. C'est la mission que je me suis donnée, c'est pour ça que je suis ici et pour demander l'approbation du président de la république sur la tenue du forum,” a-t-il conclu. Plusieurs acteurs du monde des affaires seront attendus au Congo pour participer au forum. Guy Bultynck, initiateur du forum y est déjà présent dans le domaine du transport maritime.
Audrey Fleur GALIBA
Crédit photos : Presse présidentielle
Le président de la République Denis Sassou-N’guesso s'entreytient avec le président de la société China Railways 20 bureau group corporation, Deng Yong.
Le projet de construction du barrage de Sounda qui sera l’un des plus importants du pays avec une capacité de production estimée à plus de 600MW a fait l’objet d’un entretien approfondi entre le président de la République Denis Sassou-N’guesso et le président de la société China Railways (CR 20) bureau group corporation, Deng Yong.
La réalisation de ce barrage hydroélectrique est un vieux rêve que le président de la République tient à concrétiser. Ayant saisi le grand intérêt du chef de l’Etat pour cet ouvrage, le président de CR 20 bureau group corporation, a manifesté, la disponibilité de sa compagnie à réaliser le plus vite possible les travaux de construction dudit barrage, dans le département du Kouilou.
Ainsi donc, pour la construction du barrage hydroélectrique de Sounda, les autorités de la République du Congo ont décidé de faire confiance à la société CR 20 bureau group corporation. Son directeur, Deng Yong, a annoncé, la disponibilité de sa structure à réaliser les travaux le plus vite possible.
« Nous avons discuté avec le président de la République du projet de barrage de Sounda. Nous avancerons sur ce projet en collaboration avec le ministre de l’énergie. Monsieur le Président a donné l’ordre d’avancer le plus rapidement possible. La China Railways 20 bureau group corporation est prête à commencer les travaux et à réaliser le rêve des Congolais de voir ce barrage terminé », a affirmé Deng Yong à sa sortie d’audience chez le président Denis Sassou N’Guesso.
« Monsieur le président avait donné l’ordre pour qu’on avance le plus rapidement possible. CR 20 est prête à commencer les travaux et réaliser le rêve des Congolais de voir le barrage de Sounda terminé. Nous sommes une société d’Etat et nous sommes disposés à signer le contrat même aujourd’hui pour qu’on débute les travaux », a ajouté le président de CR 20 bureau group corporation.
le président de la République Denis Sassou-N’guesso et le président de la société China Railways (CR 20) bureau group corporation, Deng Yong.
Depuis plusieurs années en effet, la construction d'un barrage hydroélectrique à Sounda dans le département du Kouilou, à 120 km de Pointe Noire est annoncée par les autorités mais n'a jamais vu le jour. Il a été évoqué en 1888 avant d’être remis à l’ordre du jour en 1952. Les autorités espéraient alors y produire 1 000 MW d’électricité. Un avant-projet d’ouvrage fut établi, mais sans succès. Il a fallu attendre 1954 pour réaliser les études préliminaires du site, par la société française d’économie mixte d’énergie électrique. Les premiers travaux de construction du barrage démarrent en 1958. La société Batignolles qui a réalisé les travaux réussit à construire le canal d’aménagement ou de déviation de 14m de diamètres et 600m de long. Mais, le projet est arrêté.
En 1960, il y a eu finalisation des études de faisabilité et édification de la première maquette du barrage par EDF. La cérémonie officielle du lancement des travaux a eu lieu le 24 mars 1961, patronnée par le président Fulbert Youlou. Les travaux sont arrêtés plus tard.
En 1997, le président Pascal Lissouba tente de relancer le projet avec des partenaires sud-africains, les travaux sont encore arrêtés.
En 2011, le Congo signe un protocole d’accord avec la société sud-africaine IDG et African Power Coorporation.
Les vrais engagements sont pris le 7 février 2014 avec la signature d’un protocole d’accord de prestation de services entre le Congo et la SFI.
Enfin, le 11 octobre de la même année, il y a eu signature du contrat de réalisation des études de faisabilités.
En 2017, une nouvelle étude de faisabilité a été faite par la Société financière internationale, un membre du groupe de la Banque mondiale. Cette dernière a revu la capacité de l’infrastructure à, entre 450 et 500 MW.
CR 20 bureau group corporation remonte au créneau ce projet avec une capacité de production de 600 MW. Cette fois-ci sera la bonne au grand espoir des congolais. C’est un défi que le président de la République entend relever et compléter ainsi son grand projet du boulevard énergétique.
Le drapeau congolais flottant à coté de ceux de la France et de l’UE au fronton de la mairie de Verquin.
La République du Congo dispose désormais d’un coin de terre en République française où sera rendu un nécessaire hommage à ses dignes fils qui avaient combattu pour la reconquête du territoire français tombé sous domination de l’Allemagne nazie pendant la seconde guerre mondiale.
L'ambassadeur Rodolphe Adada et le maire Thierry Tassez visitent la parcelle de terrain offert par la commune de Verquin
L’ambassadeur de la République du Congo en République française, Rodolphe Adada a visité cet espace de terrain qui se trouve à Verquin dans le département du Pas-de-Calais dans le nord de la France. Sur ce terrain offert par la mairie de Verquin en reconnaissance du rôle historique majeur que Brazzaville avait joué dans la mobilisation des soldats de l’Afrique équatoriale française dans la lutte pour la libération de la France les élus locaux du Pas-de-Calais ont décidé de l’érection d’une stèle et d'un jardin du souvenir en mémoire de ces soldats morts pour la France durant la seconde guerre mondiale. Le financement de l’ensemble de l’opération est à la charge du budget de la mairie de Verquin probablement avec l’appui du département du Pas-de-Calais.
Ainsi, comme les soldats des autres pays à l’instar du Canada et bien d’autres, ceux du Congo en particulier et de l’Afrique équatoriale française en général auront aussi dans le Pas-de-Calais un monument qui permettra de fixer la postérité sur l’engagement et les sacrifices consentis par les africains au côté du peuple français dans les moments les plus sombres de son histoire.
A Verquin, le maire Thierry Tassez a remis à l’ambassadeur Rodolphe Adada la médaille de la ville pour symboliser l’estime et le respect qu’on lui voue dans cette commune et à travers lui le président de la République du Congo, Denis Sassou-N’guesso que Verquin espère accueillir un jour. Thierry Tassez a aussi offert à l'ambassade de la République du Congo un lot d'ordinateurs de bureau.
L'ambassadeur Rodolphe Adada reçoit la médaille de la ville de Verquin remise par le maire Thierry Tassez
Au cours de son bref séjour à Verquin, l’ambassadeur de la République du Congo en France a visité l’une des plus grandes entreprises de la localité ; Eiffage Energie dont les activités sont dédiées à l’électronique, les systèmes ferroviaires, les transports et distribution etc. Sur le site de Verquin Eiffage intervient dans les postes de transformation haute et basse tension. Elle compte également un atelier de fabrication de cartes électroniques.
Le clou de la visite a été l’échange que l’ambassadeur a eu avec Brice Arsène Mankou, enseignant chercheur congolais de la diaspora et le cercle des amis du Congo dont le lobbying auprès des élus locaux du Pas-de-Calais permet déjà d'établir avec ce département des relations dans le cadre de la coopération décentralisée.Brice Arsène Mankou et le cercle des amis du Congo envisagent en effet, une aide à l’enfance souffrante au Congo et souhaiterait obtenir quelques facilités administratives. L’ambassadeur Rodolphe Adada a loué cette initiative et a promis les accompagner dans leur action.
C’est avec un sentiment de réelle satisfaction teintée d’espoir que l’ambassadeur Rodolphe Adada a quitté Verquin convaincu que d’autres actions vont meubler les relations ainsi tissées par les deux parties.
Crédit photos: Brice Arsène Mankou
A Dakar où il est allé assister à la cérémonie de prestation de serment de Macky Sall le président élu de la République du Sénégal, le chef de l’Etat congolais a eu une intense activité diplomatique. Aussitôt arrivé à dans la capitale sénégalaise, Denis Sassou N’guesso a eu des entretiens avec quelques dirigeants africains qui avait fait le déplacement pour assister à l’évènement. Ainsi, il a conféré avec Alassane Ouattara, le président de la République de Côte d’Ivoire. Leurs échanges, axés sur les questions de coopération, de paix et de stabilité étaient empreints de convivialité attestant les bons rapports qui existent entre le Congo et la Côte d’Ivoire d’une part et entre les deux hommes de l’autre part. A propos de la présidentielle qui sera organisée en Côte-d'Ivoire en 2020, Alassane Ouattara a rassuré son interlocuteur que ce scrutin se déroulera sans inquiétude.
Denis Sassou N’guesso avec Alassane Ouattara, le président de la République de Côte d’Ivoire
Tout de suite après Alassane Ouattara, Denis Sassou-N’guesso s’est retrouvé avec le président du Burkina-faso Rock Marc Christian Kaboré. L'organisation du scrutin présidentiel en 2020 au pays des hommes intègres a été au centre des attention des deux chefs d’Etat. Denis Sassou-N’guesso et Roch Marc Christian Kaboré s'étaient rencontrés récemment à Niamey, la capitale du Niger, à l'occasion de la ténue de la première conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la commission climat pour la région du Sahel. Cette retrouvaille a permis d’évoquer la lancinante question des changements climatiques et de la préservation des forêts.
Denis Sassou N’guesso avec Rock Marc Christian Kaboré, le président du Burkina-faso
Ce sujet sur le climat et la préservation a été aussi au centre des entretiens de Denis Sassou-N’guesso avec son homologue Félix Tshisékédi de la République Démocratique du Congo. Les deux chefs d’Etat ont fait le tour d'horizon des questions liées au fonctionnement de la commission climat du Bassin du Congo et de son instrument financier ; le Fonds bleu pour le Bassin du Congo. Ils ont aussi évoqué les questions de paix dans les Grands lacs, notamment à l’Est de la RDC. Invité à se joindre à eux par Denis Sassou-N’guesso, Faure Gnassingbé le président du Togo a mêlé sa voix aux discussions pour apporter sa contribution.
Denis Sassou N’guesso avec les présidents Félix Tshisékédi de la RDC et Faure Gnassingbé du Togo
Le dernier jour de son séjour à Dakar, le Président de la République a conféré avec Aurélien Agbenonci, ministre des Affaires étrangères du Benin. Le chef de la diplomatie béninoise était porteur d’un message du président Patrice Talon à son homologue congolais.
Denis Sassou N’guesso avec Aurélien Agbenonci, ministre des Affaires étrangères du Benin.
Au sortir de l’audience, Aurélien Agbenonci a déclaré à la presse que : « l’Union Africaine prône de plus en plus des échanges entre nos pays. Il faut que la coopération sud-sud prenne le nouvel élan. » Il a aussi ajouté que « Nous avons des préoccupations liées au climat en Afrique de l’Ouest et sur ce secteur le Congo est déjà avancé sur le terrain. Un domaine dans lequel nous devons essayer de travailler ensemble.
Marien Ibara et Benjamin Balanga (Presse présidentielle)
Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement et François de Rugy, ministre d’État, ministre de la Transition Écologique et de la Solidarité de la République Française
Arlette Nonault Soudan, ministre du Tourisme et de l’Environnement a séjourné à Paris en France dans le cadre d’une mission de travail du 28 mars au 3 avril 2019. Cette mission qui intervient après la signature le 26 mars à Brazzaville de la feuille de route sur la coopération renforcée qui lie la République du Congo et la France dans trois domaines essentiels, à savoir l’enseignement supérieur, la recherche et l’éducation, l’environnement et la santé a permis à la ministre Soudan Nonault d'avoir des échange avec son homologue français sur ce dossier.
Ainsi donc, Arlette Soudan Nonault a eu un long entretien avec François de Rugy, Ministre d’État, Ministre de la Transition Écologique et de la Solidarité de la République Française lundi 01 avril 2019. Les deux ministres ont, à cette occasion examiné la feuille de route pour une coopération renforcée dans le secteur de l’environnement et du climat, ainsi que l’opérationnalisation de la Commission Climat du Bassin du Congo et de son instrument financier le Fonds Bleu pour le Bassin du Congo. Ils ont également abordé la question relative à la gestion durable des tourbières de la Cuvette Centrale de la République du Congo. A la fin de leur rencontre, la ministre du Tourisme et de l’Environnement a transmis à son homologue une invitation à se rendre en visite de travail à Brazzaville, invitation qui a été acceptée
Vendredi 29 avril, Arlette Soudan Nonault a été reçue au siège de l’Agence française de développement (AFD) par Philippe Bauduin, directeur général adjoint de cette institution.
Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement à l'Agence française de développement
La facilité Adapt’Action pour la mise en œuvre de l’accord de Paris sur le climat, l’appui de l’AFD à la République du Congo dans la recherche des financements pour le Fonds bleu pour le bassin du Congo et l’appui de l’AFD pour le conseil d’administration de l’initiative pour les forêts d’Afrique Centrale (CAFI) ont constitué les principaux centres d’intérêt au cours de leurs échanges.
La ministre du Tourisme et de l’Environnement qui a fait un véritable plaidoyer sur le Bassin du Congo a eu une oreille attentive du coté de l’AFD.
Avant toutes ces rencontres, Arlette Soudan Nonault a été reçue à l’ambassade de la République du Congo en France par monsieur Rodolphe Adada, l’ambassadeur.
Arlette Soudan-Nonault, ministre du Tourisme et de l’Environnement et Rodolphe Adada, ambassadeur de la République du Congo en France
Entretien Denis Sassou N’Guesso et Félix Tshisekedi en marge de la cérémonie d’investiture de Macky Sall à Dakar
Les deux chefs de l’Etat se sont entretenus, le 1er avril à Dakar, en marge des festivités relatives à l’investiture du président sénégalais, Macky Sall.
Président de la commission climat du Bassin du Congo, Denis Sassou N’Guesso et son homologue de la République démocratique du Congo (RDC), Félix Tshisekedi, ont évoqué les questions liées à la préservation de l’environnement, notamment le fonctionnement de cette structure.
Le Bassin du Congo est le deuxième massif forestier du monde après l’Amazonie, en Amérique latine. Plus de 50% des écosystèmes forestiers de ce bassin se trouvent sur le territoire de la RDC.
En 2017, à l’initiative du président Denis Sassou N’Guesso, un accord a été signé à Oyo, à plus de 400 km au nord de Brazzaville, portant sur la création du Fonds bleu pour le Bassin du Congo.
Ce fonds vise, entre autres, à financer les projets qui permettent de préserver les forêts, d’assurer l’entretien des voies navigables, de construire des centrales hydroélectriques et d’améliorer les conditions de vie des communautés riveraines des zones forestières.
Hormis le président de la RDC, le chef de l’Etat congolais a conféré également avec les présidents Alassane Ouattara de Côte d’Ivoire, Roch Marc Christian Kaboré du Burkina Faso et Faure Gnassingbé du Togo.
Agence d'information d'Afrique centrale (ADIAC)
Crédit photos: Benjamin Balanga (Presse présidentielle)
37 Bis Rue Paul Valéry, 75116 Paris, France
Horaires de Travail (sans intérruption) :
Ouverture (opening) : 09H00
Fermeture (closing) :16H00
Téléphone :+33 1 45 00 60 57
Email: contact@ambacongofr.org
66 Quai de Boisguilbert 76000 Rouen
Téléphone :+33 7 67 02 63 30
Email :congoconsul.rouen@gmail.com