L’ambassade de la république du Congo en France
Dans l’interminable feuilleton juridique qui oppose depuis près de trois décennies l’entrepreneur de BTP libanais Mohsen Hojeij à l’État congolais, le PDG de Commisimpex vient de perdre une manche.
Deux semaines après avoir obtenu la saisie du Falcon présidentiel de Denis Sassou Nguesso sur l’aéroport de Bordeaux-Mérignac en France, Mohsen Hojeij (qui exige du gouvernement de Brazzaville le paiement d’une dette qu’il chiffre désormais, avec les intérêts, à 1,2 milliard d’euros) s’est vu imposer le 25 juin par le Tribunal judiciaire de Paris la levée des saisies immobilières que lui avait accordées la justice en août 2016.
(Article publié par Jeune Afrique)