Une messe d’action de grâces a été dite, le 14 mars , à Edou, près d’Oyo (Cuvette), à l’occasion des dix ans de la disparition de la fille aînée du président Denis Sassou N’Guesso et ex-première dame du Gabon.
Mgr Laurent Mossengo conduisant l'office réligieux
L’office religieux conduit par le cardinal émérite de la République démocratique du Congo, Laurent Monsengwo Pasinya, a mobilisé, aux côtés des familles N’Guesso, Dirat et Bongo Ondimba, les dirigeants et fidèles des diocèses d’Owando (Cuvette) et de Gamboma (Plateaux).
Les présidents Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale) et Faure Gnassingbe (Togo) comptaient parmi les hôtes de marque de leur homologue congolais, tout comme plusieurs responsables des institutions publiques du pays.
Le couple présidentiel congolais avec le couple Obiang Nguéma sur la photo à gauche et le président Faure Gnassingbé à droite
Durant la messe ponctuée par des prières, chants et danses, l’assistance a replongé dans le souvenir de celle qui, tout au long de sa vie sur terre, s’était fait remarquer par son altruisme et son humilité.
Fille de président et épouse de président, le Dr Edith Lucie Bongo Ondimba ne s’était jamais départie de sa contribution de mère de famille et restait proche des plus faibles et des démunis, ont commenté les intervenants.
Pour émouvante, la cérémonie du 14 mars à Edou l’a été à plusieurs titres, surtout quand on pense à la forte affluence des parents, amis et connaissances des familles d’Edith, arrachée à l’affection des siens à l’âge de 45 ans, le 14 mars 2009, à Rabat, au Maroc.
Parlant au nom de tous, Jean Dominique Okemba n’a eu le mot juste que de dire un grand merci à ceux et celles qui, Congolais ou étrangers, venus de partout, ont apporté un réconfort moral aux parents de l’illustre disparue.
La cérémonie a pris fin par le dépôt d’une gerbe de fleurs sur la tombe du Dr Edith Lucie Bongo Ondimba par le président Denis Sassou N’Guesso.
Gankama N’Siah ( Les dépêches de Brazzaville)
Une messe d’action de grâces a été dite, le 14 mars , à Edou, près d’Oyo (Cuvette), à l’occasion des dix ans de la disparition de la fille aînée du président Denis Sassou N’Guesso et ex-première dame du Gabon.
L’office religieux conduit par le cardinal émérite de la République démocratique du Congo, Laurent Monsengwo Pasinya, a mobilisé, aux côtés des familles N’Guesso, Dirat et Bongo Ondimba, les dirigeants et fidèles des diocèses d’Owando (Cuvette) et de Gamboma (Plateaux).
Les présidents Teodoro Obiang Nguema Mbasogo (Guinée équatoriale) et Faure Gnassingbe (Togo) comptaient parmi les hôtes de marque de leur homologue congolais, tout comme plusieurs responsables des institutions publiques du pays.
Durant la messe ponctuée par des prières, chants et danses, l’assistance a replongé dans le souvenir de celle qui, tout au long de sa vie sur terre, s’était fait remarquer par son altruisme et son humilité.
Fille de président et épouse de président, le Dr Edith Lucie Bongo Ondimba ne s’était jamais départie de sa contribution de mère de famille et restait proche des plus faibles et des démunis, ont commenté les intervenants.
Pour émouvante, la cérémonie du 14 mars à Edou l’a été à plusieurs titres, surtout quand on pense à la forte affluence des parents, amis et connaissances des familles d’Edith, arrachée à l’affection des siens à l’âge de 45 ans, le 14 mars 2009, à Rabat, au Maroc.
Parlant au nom de tous, Jean Dominique Okemba n’a eu le mot juste que de dire un grand merci à ceux et celles qui, Congolais ou étrangers, venus de partout, ont apporté un réconfort moral aux parents de l’illustre disparue.
La cérémonie a pris fin par le dépôt d’une gerbe de fleurs sur la tombe du Dr Edith Lucie Bongo Ondimba par le président Denis Sassou N’Guesso.
Gankama N’Siah ( Les dépêches de Brazzaville)